21 mai 2016

Devinez qui vient d’accepter notre invitation FB… ?
Véronique Poulain !!!

Il est temps désormais de rendre à César ce qui est à César et à Veronique Poulain ce qui lui revient…
De lui dire que depuis quelques mois c’est elle et sa couverture de roman en cœur, qui a été notre cri de ralliement spécial histoire d’amour naissante, puis brûlante, un peu plus tard histoire d’amour de weekend napolitain, et enfin de saut vers l’inconnu.

C’est elle qui écrit ce que je poste depuis quelques jours, sur Vanessa célibataire qui doit en un temps record trouver du travail, un mec et un sens à sa vie, sur le Mojito qui vaut mieux qu’un lifting…

C’est elle, Véronique Poulain, qui me fait rire, encore et encore, à décrire la loose absolue à la sauce auto dérision, me donnant envie d’avoir cette Vanessa comme meilleure amie dans le 1/4 d’heure.

Un dernier passage et j’arrête de vous saouler avec cette Véronique Poulain pour vous envoyer dans les dix minutes des adhésions à remplir au « Véronique Poulain Fan Club » que je monte dans l’instant tellement je l’adore :

(Alors que Vanessa vient enfin de trouver l’âme sœur…) :
« – C’est rassurant, tu as réussi à t’en trouver un, finalement.

  • Ouais. Mais il y a une grosse ombre au tableau.
  • Ça m’aurait étonnée… Laquelle ?
  • Son nom. Il s’appelle Tapin. Gabriel Tapin. C’est pas tous les jours qu’on doit vouloir l’épouser, lui. T’imagines : Vanessa Tapin… ? »

20 mai 2016

Elle est passée à l’instant…
Juste pour me dire qu’elle était venue hier soir au Bistro des Tilleuls pour voir Didier Pourquery. Jean Georges lui a dit la grève, le train annulé, l’auteur désolé, nous catastrophés, tout ça… Ils ont pris un verre. Et ils sont rentrès.

Elle était là juste pour Agathe…

16 mai 2016

« Et surtout pas d’étonnement intempestif. T’extasie pas sur la mer, elle a toujours été là. »
Gabin dans « Mélodie en sous-sol »
Henri Verneuil.

14 Mai 2016

Anecdote d’un samedi après-midi :

Lorsqu’on vous appelle de Saint Malo et que sur le message que l’on vous laisse, vous n’entendez que le vent, vous rêvez du bord de mer…

13 Mai 2016

Pivot admiratif de Zlatan…

Les seuls livres que Zlatan a lus, sont son carnet de santé et son passeport.

Pivot a du goût.

12 Mai 2016

Ce message est réservé exclusivement aux romantiques (dont je suis), celles qui pleurent même si « ça fait mille fois qu’on le voit « La route de Madison », tu vas pas encoooooore te mettre à pleurer »…

Écoutez bien :

« À la nuit tombée, Jess court dans les rues glacées de Londres. Elle fuit la violence de son compagnon. Elle ne sait où aller, finit par trouver refuge dans une maison abandonnée. Au matin, le facteur glisse une lettre dans la boîte. Incapable de résister à la tentation, Jess lit.

« Ma petite chérie,

Cela fait plus de soixante dix ans et je pense toujours à toi en ces termes. Ma chérie. Ma petite. Tant de choses ont changé entre temps, le monde n’est plus le même que lors de notre rencontre, pourtant chaque fois que je pense à toi j’ai à nouveau vingt-deux ans.

Je t’ai promis un amour infini, à une époque où il m’était impossible de savoir si je survivrais une semaine de plus. Pas un instant je n’ai cessé de t’aimer. J’ignore où tu te trouves. J’ignore même si tu es encore en vie. Je continue à souhaiter pouvoir remonter le temps pour reprendre tout depuis le début. Cette fois, je veillerais à ce que tu ne partes jamais.

Si tu reçois cette lettre, écris moi s’il te plait.

Mon amour…

Dan. »

Je l’ai en pile à la librairie.

Un roman spécial romantiques. Celles qui… « oh nooooooon tu vas pas encooooore te mettre à pleureeeeer ».

7 mai 2016

Eh oui… Encore un code du travail !!

Anecdote de 17h09… :

(Suite de l’anecdote d’hier à 15h59)

Elle est venue chercher son livre et devinez ce qu’elle me dit ?!!!

« Vous avez regardé la télévision ce matin ? »

😳😩😫😱😱😡😡

Ben non parce que ce matin, je travaillais !!! 

Aujourd’hui, nous sommes samedi 7 mai, personne n’a décidé de descendre de sa croix, la CGT ne défile pas dans la rue, tout le monde dort pour récupérer d’une nuit debout éventuelle… Bref, je travaille. Donc je n’ai pas regardé la télévision ce matin. 

Si je dois me confesser est ce qu’on peut prévoir un rendez vous un peu court parce que j’ai des tas de bons romans à lire, encore…

Merci d’avance.

6 mai 2016

Anecdote de 15h59… :

Je suis toujours étonnée d’entendre des dames en retraite depuis 2000 ans me reprocher de ne pas travailler les jours fériés…

Parce que oui, hier, la librairie était fermée. 

Je vous prie, Mesdames (je doute qu’elles aient FB mais on n’sait jamais), d’accepter mes excuses de… « pastoujoursacharnée » au travail. 

Pour votre gouverne et votre plus grand bonheur, les 1er et 8 mai tombent cette année, un dimanche. 

« Une année d’patron », aurait dit mon comptable. Si bien que lorsque Jésus décide de monter au ciel un jeudi, on l’en sait gré, et on l’honore…

Allez…, j’arrête de me plaindre !!

12 avril 2016

Anecdote de l’après midi :

Je voulais venir à la nage à Evian mais j’ai opté pour une modeste barquasse, expo Belles de jour au Palais Lumière, je n’pouvais pas faire moins. Avant d’entrer, je m’installe pour prendre un café au café (sans sucre, le café, la barquasse m’a ruinée pour 728 ans), histoire de terminer « Les délices de Tokyo », roman si délicieux que je n’ai pas fini de multiplier les posts FB pour cette merveille. 

Bref, je suis là, bien tranquille, lorsque déboule une espèce de banquier/notaire/avocat, au téléphone avec Houston genre « ce que je dis est hyyyyper intéressant, il faut que la planète entière l’entende ». Je relève la tête ; même « Les délices de Tokyo » s’inclinent devant la concurrence. Ils sont cinq à sa table. Tous à l’écouter religieusement hurler « tu dois demander à voir les comptes-rendus médicaux, tu dois l’exiger, ils doivent les produire… ». Inintéressant au possible, vous en conviendrez. Lorsque, eu égard à l’œil noir que me jette sa chaaaaarmante épouse qu’aurait interprété Cate Blanchett à merveille, œil noir qui signifie « comment cette pauvresse (moi) arrivée sans nul doute à la nage ose t elle ne pas se délecter du discours si passionnant de mon illlllustre époux ?!! », je lui objecte « c’est pas comme s’il avait le moindre intérêt… »

Sans se démonter, vous savez ce qu’elle répond ?? « Raymond (parce qu’il s’appelle « Raymond »), Raymond…, tu peux aller discuter à l’écart, tu gènes cette pauv…, cette dame ? », et elle se tourne vers sa famille (future ex-famille j’espère), et ajoute « à Paris, on n’a teeeeeellement pas l’habitude de se soucier des autres ! »

Amies parisiennes, amis parisiens, cher, très cher ami parisien, nous avons, nous, « Hauts Savoyards », une fort mauvaise réputation. Froids, pas vraiment accueillants, un peu rustauds, à n’aimer dans le touriste que le portefeuille du touriste… Tout n’est pas faux. Mais Abraham Lincoln disait vrai : Cet homme pourra prendre la tête à qui le veut mille fois. Mille autres que moi pourront se laisser polluer. Mais si un seul de vous était partant pour un seul de nous, il verrait que nous pouvons être mille fois plus délicats. Même une seule fois. 

Bon, je l’accorde à qui veut, Lincoln, c’était pas exactement cela. Mais les morts sont rarement contrariants.

5 avril 2016

Hélas je sais, j’ai quelques principes, c’est comme ça. Il y a pire : certains planquent du blé dans des paradis fiscaux alors qu’ils jurent la main sur le cœur qu’ils n’ont pas touché le moindre pot de vin depuis qu’ils sont patron de l’UEFA. On fait tous comme on peut, le monde n’est pas manichéen… Mais moi je sais au moins que lorsque je me regarde dans la glace, j’arrive encore à me reconnaître. Platini, lui, voit sans doute la tête de Poutine, ou peut être de Messi d’ailleurs, à moins que ça change de jour en jour (je me souviens que mon frère avait un Big Jim comme ça lorsqu’on était mômes, on lui bougeait le bras et il changeait de tête…).

Donc j’ai quelques principes et celui auquel je viens de déroger est le suivant : 

– JE NE LIS PAS AU BOULOT. 

C’était sans compter sur l’arrivée du dernier roman de Chahdortt Djavann.

Un piège. 

J’ai juste voulu voir ce que c’était…

Lire quelques pages… 

Et je l’ai terminé. 

À vous qui avez souhaité que je vous raconte quelques albums pour trois anniversaires, je reconnais que je suis heureuse que vous n’ayez pas eu davantage de petits enfants, 

À vous qui m’avez surprise et vous êtes étonné de me voir à ce point absorbée, j’espère que ces « putes voilées » vous plairont autant qu’à moi,

À vous tous qui êtes venus depuis ce début d’après midi, si je vous ai semblé un peu absente, je vous prie de me pardonner…  

Rassurez vous, Chahdortt Djavann n’écrit pas non plus un nouveau roman tous les jours… !!

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