Anecdote du soir, désespoir… :
Il m’a fallu un temps dingue pour comprendre une blague de Nabilla. Enfin, quand je dis une blague, en fait, c’en n’était pas une. Je veux dire « venant d’elle, c’était juste une répartie ». Enfin, je veux dire « venant d’elle, c’était juste une réponse ».
Bref.
Ils sont quelques uns dans une voiture. Je n’sais ni qui ils sont, ni d’où ils viennent, ni où ils vont. Désolée. Je serais nulle pour un interrogatoire de flics. J’ai juste compris que je regardais un extrait genre « bêtisier ». Voilà pourquoi j’ai parlé d’ « une blague de Nabilla ».
Il y en a un qui dit en parlant du lieu où ils sont (j’imagine…) :
- « c’est la mecque des surfeurs. »
Alors moi, je comprends qu’ils sont à Malibu Lagoon, à Puerto Escondido, à Hawaii ou bien à Biarritz…
Mais Nabilla me tire de ma réflexion lorsqu’elle répond à l’idiot qui vient de parler :
-« ils sont pas forcément musulmans. »
😧😧😧
À part ça, je lis un livre passionnant, heureusement. Une histoire en trois temps, trois personnages, trois lieux. Il ne parle ni de cheveux, ni de femmes, mais d’abeilles. C’est une histoire des abeilles et son prénom, c’est pas une blague (pas même de Nabilla).