18 juillet 2016

Ce soir, ce que je lis commence ainsi :

« Qui rêve trop oublie de vivre », disait Panchito.
J’incarne mon propre rêve, pourtant je croque la vie à pleines dents sans en perdre une miette.
Je cherche toujours le bon côté des choses car elles en ont forcément un. Je vois le verre à moitié plein, une forme de sourire par-dessus la grimace, et la colère comme un enthousiasme démesuré.
Le monde n’est pas obligé d’être parfait, mais il nous appartient de lui trouver un sens qui nous aidera à accéder à une part de bonheur. »

À paraître le 24 août 2016…
😉😉

Publié dans
dans les archives