Au café.
À côté, une scène d’une tristesse infinie.
« Si j’attends qu’i crève, j’vais crever avant. Aah j’veux plus d’ça moi. Si j’attends qu’i crève, j’vais crever avant. »
Si elle avait lu Kenzaburô Ôe, cette femme, elle saurait que « la littérature guérit du désespoir ».